Mode

de production

Installés en 2009 sur une exploitation conduite en production intégrée, le choix de passer la totalité du verger en agriculture biologique s'est tout de suite imposé à nous.

En effet, nous n'avions pas envie de voir grandir nos trois enfants au milieu d'un verger traité avec des produits chimiques cancérigènes.

C'est donc tout d'abord une envie personnelle mais aussi en phase avec l'attente des clients dont la première question est bien souvent :

"vos fruits sont traités ?", à laquelle nous pouvons répondre sans rougir que nos fruits reçoivent exclusivement des traitements homologués en agriculture biologiques d'origine végétale ou minérale et aucun traitement chimique rigoureusement interdit par le cahier des charges.

Aujourd'hui, le verger avoisine les 6 hectares et représente un véritable lieu de biodiversité : arbres fruitiers, nichoirs, bandes fleuries, haies sont autant d'abris naturels qui invitent la faune auxiliaire à y vivre.

Les arbres haute-tige de nos ancêtres ont été préservé sur 8 hectares

de pâtures convertis à l'agriculture biologique qui bordent les vergers basses-tiges pour garantir à nos clients une récolte saine, non polluée

par le voisinage.

Il est loin le verger de Papy Charles, mais son âme a été préservée et nous travaillons chaque jour à mettre en œuvre le savoir-faire familial pour vos proposer des fruits et des jus de fruits d'une qualité exceptionnelle.

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Après un an de production intégrée, nous décidions de passer la totalité des 5 hectares de vergers en agriculture biologique en 2010

Petit à petit, l'exploitation s'agrandit et c'est Jean-Charles, seul garçon au milieu de ses 3 sœurs qui prit la suite après ses études arboricoles.

Il travailla comme aide familial pendant 10 ans avant de s'installer à son compte en 1976.

Le verger continua de s'agrandir pour avoisiner les 4 hectares.

C'est Paul Lecerf qui planta les premiers pommiers hautes tiges

dans ses pâtures à Beaudignies où se situe toujours les vergers.

Il  partait en calèche avec son épouse Aline vendre du beurre et

des pommes dans les villages voisins.

Les années passèrent et il eut 3 enfants.

Les années passèrent et c'est avec brio que Jean-Charles et son épouse, Nicole, traversèrent les  aléas climatiques et commerciaux pour nous passer la main en 2009

Seul garçon de cette fratrie, Charles reprit naturellement la suite de ses parents et commença à planter des pommiers basses tiges.

Le verger prenait une nouvelle forme.

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